ACSQ est à la recherche de nouvelles/nouveaux membres pour notre conseil d'administration ! Si vous partagez notre mission et nos valeurs de justice environnementale et féministe intersectionnelle, nous voulons vous rencontrer.

- Nous cherchons des personnes engagées, prêtes à faire une différence et à soutenir notre cause dans cette période de changements et de grands projets.
- Nous cherchons particulièrement des personnes avec de l'expérience en ressources humaines, en coordination partagée et en philanthropie.

Postulez dès maintenant en écrivant à acsq.bcaq.board@gmail.com et faites partie du changement !


Découvrez les membres de notre conseil d'administration !

Amira Bensahli, Présidente

Amira Bensahli est co-coordonnatrice du centre de femmes Femmes du monde à Côte-des-Neiges. Militante active depuis 2013, elle a organisé plusieurs actions féministes,  anti-racistes et anti-capitalistes. Elle détient un baccalauréat avec honneur en sociologie et termine présentement sa maitrise en sociologie à l'Université de Montréal.

Pourquoi ACSQ?

Ce qui me motive à rejoindre cette cause, c'est la vision audacieuse d'ACSQ qui va au-delà de la simple sensibilisation individuelle. ACSQ reconnaît les complexités des identités sociales et s'efforce de lutter contre les discriminations combinées. Son approche antiraciste est un engagement solide contre le racisme systémique dans le domaine de la santé et de l'environnement. Mon implication vise à diversifier les perspectives, à lutter contre les inégalités systémiques touchant les femmes racisées dans la lutte contre le cancer du sein. Je considère que ACSQ peut influencer positivement les politiques de santé, sensibiliser aux besoins culturels spécifiques et encourager l'autonomisation des femmes.

Que représente la santé environnementale pour vous?

En tant que femme racisée ma mission est ancrée dans une perspective féministe et intersectionnelle. Pour moi, la santé environnementale n'est pas une préoccupation isolée, mais une réalité interconnectée. En défendant cette cause, je m'efforce de créer des conditions propices à la prévention du cancer du sein, en reconnaissant que les communautés marginalisées sont souvent les plus affectées. Mon militantisme s'inscrit dans une vision holistique où santé individuelle, communautaire et environnementale convergent vers un bien-être collectif.


Nancy Guberman, Vice-présidente

Nancy Guberman a été professeure titulaire de Travail social à l’Université du Québec à Montréal jusqu’à octobre 2010. Après sa retraite de l’UQAM, elle est devenue travailleuse militante à Relais-femmes où elle faisait des formations et accompagnements des groupes de femmes. Elle s’implique à ACS-Qc depuis 1998 année où elle a été diagnostiqué et traité pour un cancer du sein.

Pourquoi ACSQ?

Je trouve qu’ACS-Qc est l’un des seuls organismes qui s’attaquent aux véritables facteurs liés au cancer du sein, soit les substances toxiques dans les produits de consommation et dans l’environnement plus général, et notamment des perturbateurs endocriniens. ACS-Qc est aussi résolument féministe et a adopté une vision intersectionnelles, ce qui correspond à mes valeurs.

Que représente la santé environnementale pour vous?

Ayant eu un cancer du sein malgré le fait que je n’avais presqu’aucun des facteurs de risque identifiés à l’époque pour expliquer ce cancer (je mangeais bien, ne faisais pas de surpoids, faisais de l’exercice, ne fumais pas, buvez peu d’alcool, etc. etc.), je trouvais que ACS-Qc m’aidait à comprendre comment les substances toxiques dans l’environnement pouvaient jouer un rôle important dans l’augmentation des diagnostiques du cancer du sein. Pour moi la santé environnementale implique que les humains vivent en santé dans un environnement en santé où on aurait éliminé ou du moins grandement réduit les substances toxiques.


Helen kinsella, Trésorière

Helen est l'ancienne vice-présidente de l'organisme Women's Environmental Network au Royaume-Uni, et possède de nombreuses années d'expérience dans le domaine des médias et de la communication. Elle a occupé le poste de responsable du service des affaires étrangères du journal The Independent avant de travailler pour plusieurs organismes à but non lucratif au R-U, dont Environmental Justice Foundation et Minority Rights Group. Elle est actuellement interprète communautaire et suit des formations en communication non violente. Pendant son temps libre, elle aime cultiver son intérêt pour l'herboristerie.

Pourquoi ACSQ?

Il est important pour moi de faire partie d'un organisme qui promeut la santé d'un point de vue féministe intersectionnel, en sensibilisant et en faisant campagne sur des questions qui relient la santé, l'équité et la justice sociale et environnementale. L'expérience que j'ai eue en soutenant et en perdant des femmes dans ma vie qui ont eu le cancer du sein m'aide à concrétiser cet engagement. 

Que représente la santé environnementale pour vous?

C'est l'un des aspects de ma vision d'une société équitable, orientée vers la communauté et basée sur les principes de la décroissance, où chaque personne a accès aux ressources dont on a besoin pour vivre une vie saine et épanouie. Il s'agit de s'éloigner d'un système extractiviste, destructeur et polluant, qui alimente une accumulation de biens de consommation, et de privilégier le bien-être physique et mental réel à la prospérité financière.

Eugénie Fontaine, Secrétaire

Titulaire d’une maîtrise en santé publique de l’Université Laval, Eugénie Fontaine possède plusieurs années d’expérience dans le milieu communautaire québécois et ontarien, notamment en promotion de la santé des femmes, en recherche et en défense des droits.  

Pourquoi ACSQ?

Je me suis impliquée avec l’ACSQ parce que la santé des femmes et l’équité en santé sont au cœur de mes engagements. Je crois profondément au pouvoir collectif de transformer nos milieux de vie pour les rendre plus sains, plus inclusifs et plus résilients. L’approche féministe intersectionnelle de l’ACSQ, sa lutte contre les inégalités sociales en santé et son éthique, notamment son refus de contributions de l’industrie pharmaceutique, rejoignent pleinement mes convictions.  

Que représente la santé environnementale pour vous?

J’adopte une vision holistique de la santé, où l’environnement est un axe transversal qui influence directement la santé humaine. Agir pour la santé environnementale, c’est prévenir les risques, promouvoir des milieux de vie sains et protéger nos écosystèmes pour améliorer notre bien-être physique, mental et social.


 Marie Nikette Lorméus, Administratrice

Marie Nikette, évaluatrice de programme, a un engagement personnel de longue date sur les questions de droits des femmes et a été membre de plusieurs organisations et plateformes sur les thématiques des droits des Femmes en Haïti et l’Amérique Latine.

Pourquoi ACSQ?

Arrivée au Québec, je brulais du désir de continuer à m’engager dans des activités en lien avec la défense des droits des femmes. J’ai intégré un poste de travailleuse au sein de ACSQC et je suis tombée en amour avec le travail que mène l’organisme, celui de combattre l’envahissement des toxines sur tous les fronts et spécifiquement à travers la réforme de loi mère : Loi canadienne sur la protection de l’environnement.

Que représente la santé environnementale pour vous?

La santé environnementale selon moi est ce droit dont dispose chaque citoyenne et chaque citoyen de vivre dans un milieu sain où les substances toxiques sont à tous les niveaux bien contrôlés pour éviter les risques de maladies graves (Cancer).


Membres honoraires

Deena Dlusy-Apel

Janine O’Leary-Cobb

Michele Landsberg

Francine Pelletier

Sharon Batt